Dans L’ordre des choses, film culte de Fischli et Weiss, une simple mèche allumée déclenche une chaîne de réactions entre objets, déroulant une chorégraphie joyeusement physique et imprévisible. Ce paysage en mouvement perpétuel devient le point de départ d’Une échappée, où gestes et objets ordinaires se combinent pour faire surgir des mondes.
L’espace scénique est d’abord minimal : une danseuse et un bricoleur y amènent quelques objets quotidiens à l’air insignifiant. Mais peu à peu, tout évolue : les jeux d’assemblages, de réactions et de détournements transforment le plateau en un théâtre de métamorphoses. Décor puis accessoire ou costume, les objets se recomposent à l’infini dans une chorégraphie qui oscille entre la délicatesse de l’assemblage, et la joie surprise de la déconstruction. Les monde Nuages, Liquide, Cabanes ou Feu se succèdent et se dansent à partir de trois fois rien, faisant évoluer leurs créateurs à chaque tableau. Un spectacle où l’on sculpte l’espace et les corps avec un humour et une poésie enfantine, ouvrant grand les portes de l’imaginaire.
L’espace scénique est d’abord minimal : une danseuse et un bricoleur y amènent quelques objets quotidiens à l’air insignifiant. Mais peu à peu, tout évolue : les jeux d’assemblages, de réactions et de détournements transforment le plateau en un théâtre de métamorphoses. Décor puis accessoire ou costume, les objets se recomposent à l’infini dans une chorégraphie qui oscille entre la délicatesse de l’assemblage, et la joie surprise de la déconstruction. Les monde Nuages, Liquide, Cabanes ou Feu se succèdent et se dansent à partir de trois fois rien, faisant évoluer leurs créateurs à chaque tableau. Un spectacle où l’on sculpte l’espace et les corps avec un humour et une poésie enfantine, ouvrant grand les portes de l’imaginaire.