Après Carte noire nommée désir accueillie la saison dernière au Théâtre 71, Rébecca Chaillon poursuit ses performances autour du corps, du désir et des discriminations, et plonge cette fois dans son adolescence pour décrire l’intime en construction et en tempête.
Sur le plateau, entre une assiette monumentale et des couverts géants, dans un self de cantine d’établissement scolaire ou devant le micro-onde de la cuisine encombrée d’une famille nombreuse, quatre jeunes performeur·euse·s se livrent : premières fois trop tôt et trop tard, poils partout et nulle part, seins qui poussent trop et pas assez, genre à l’envers, apprentissage de son corps, communication impossible avec la famille, jets de pensée, jets d’émotions, rejet de tout… Ils tentent d’exorciser leur propre adolescence en se racontant. De cette rage ressentie plus jeune, Rébecca Chaillon compose une œuvre joyeusement subversive et ouvre un chemin vers la réconciliation avec soi-même, pour mieux vivre avec ses pairs, avec sa famille, et fabriquer un jour une famille choisie.
Sur le plateau, entre une assiette monumentale et des couverts géants, dans un self de cantine d’établissement scolaire ou devant le micro-onde de la cuisine encombrée d’une famille nombreuse, quatre jeunes performeur·euse·s se livrent : premières fois trop tôt et trop tard, poils partout et nulle part, seins qui poussent trop et pas assez, genre à l’envers, apprentissage de son corps, communication impossible avec la famille, jets de pensée, jets d’émotions, rejet de tout… Ils tentent d’exorciser leur propre adolescence en se racontant. De cette rage ressentie plus jeune, Rébecca Chaillon compose une œuvre joyeusement subversive et ouvre un chemin vers la réconciliation avec soi-même, pour mieux vivre avec ses pairs, avec sa famille, et fabriquer un jour une famille choisie.
