Le jazz-man Oan Kim nous présente son premier album
Fermez les yeux, imaginez : les lumières d’une ville autour de minuit, les volutes d’une cigarette, un couple sous les lampadaires… Le musicien Oan Kim, également réalisateur de documentaire et photographe, crée tout un univers d’images quand il joue. Sa voix émoussée à la Chet Baker inspire des paysages spirituels, tandis que son saxophone alto soulève des phrases stellaires et rêveuses. Son premier album, Dirty Jazz, est pénétré d’influences diverses : plaintes venues du blues, rythmiques électriques ou sonorités étirées inspirées de l’ambient. Si Oan Kim sait parfaitement combiner les genres, c’est qu’il s’est d’abord épanoui dans l’électro rock, avec son ancien duo Chinese Army, avant de se consacrer au jazz. Aujourd’hui, il est accompagné par le trompettiste Nicolas Folmer, le batteur Edward Perraud ainsi que le guitariste Benoît Perraudeau.
La presse en parle
« Le saxophoniste et chanteur franco-coréen livre une œuvre à la beauté sophistiquée et intemporelle où le jazz se mêle en toute liberté à la musique classique et contemporaine ou au rock. » Radio France