Issam Rachyq-Ahrad en est convaincu : il n’y a pas d’art sans ambition sociale. Pour s’adresser à celles et ceux tenu·es à distance des scènes de théâtre, il imagine un premier spectacle ambitieux et modeste. Un micro, un simple fauteuil, et le désir de rendre justice à sa mère, Marocaine arrivée en France à 16 ans. Le seul-en-scène autobiographique Ma République et moi, est conçu comme un objet populaire capable d’investir tous les lieux de représentation.
Le spectacle parle de lui, mais surtout d’elle. Issam Rachyq-Ahrad endosse la voix maternelle pour raconter le voyage d’une rive à l’autre de la Méditerranée, l’installation dans un pays étranger, et le regard soudain transformé qu’on lui porte lorsqu’elle choisit de porter le voile. En s’adressant directement au public, le metteur en scène nous invite à entrer dans une famille franco-marocaine comme il en existe tant, là où l’intégration se fait sans clash, hybride et vivante. Face à une actualité politique moribonde, Ma République et moi refuse l’amertume et porte un rare élan vital.
Le spectacle parle de lui, mais surtout d’elle. Issam Rachyq-Ahrad endosse la voix maternelle pour raconter le voyage d’une rive à l’autre de la Méditerranée, l’installation dans un pays étranger, et le regard soudain transformé qu’on lui porte lorsqu’elle choisit de porter le voile. En s’adressant directement au public, le metteur en scène nous invite à entrer dans une famille franco-marocaine comme il en existe tant, là où l’intégration se fait sans clash, hybride et vivante. Face à une actualité politique moribonde, Ma République et moi refuse l’amertume et porte un rare élan vital.
« Le pari est gagné, le faux stand-up mais vrai seul-en-scène fait vaciller les préjugés et dévoile la vie d’un homme d’aujourd’hui. » Olivier Frégaville-Gratian d’Amor – Transfuge
« En se faufilant au cœur de l’intimité tranquille d’une famille marocaine, Issam Rachyq-Ahrad compose une élégante réponse aux fauteurs de haine. » Emmanuelle Bouchez – Télérama
« Conjuguant habilement divertissement et sujets plus graves, il signe, avec Ma République et moi, un spectacle nécessaire.» Olivier Frégaville-Gratian d’Amor – L’Œil d’Olivier