Une création à destination du très jeune public
Ce spectacle lumineux et espiègle repose sur le principe du jeu comme axe fondamental de la construction d’un individu. Le jeu permet à l’enfant d’apprivoiser son espace, de comprendre le monde, d’apprendre la maîtrise de ses émotions, de s’exercer à la prise de décisions, de développer son imagination et, notion fondamentale, de renforcer sa confiance en lui. Tout est jeu dans la vie du tout-petit et, c’est cette dimension absolument précieuse et si libre que souhaite explorer Bénédicte Gougeon dans ce nouveau projet : le jeu comme construction de JE. Ainsi, dans un espace circulaire, au milieu des jeunes spectateurs, deux comédiennes-manipulatrices inventent des mondes et des univers à base de jouets, dans une chorégraphie de corps et de sons. Comme l’enfant joue, les comédiennes manipulent (et ne dit-on pas jouer d’ailleurs pour un comédien) et tout peut alors prendre vie, tout est potentiellement vivant et habité... Alors retombons en enfance et que la magie du « On dirait que » commence !
MISE EN SCÈNE ET SCÉNOGRAPHIE Bénédicte Gougeon
ÉCRITURE CORPORELLE Caroline Cybula
AVEC Caroline Cybula et Bénédicte Gougeon