Enfants abusés, cachés, victimes de la petite ou de la grande histoire : les héros de L’Archipel des bâtards partagent leurs histoires au creux de la nuit tout en fomentant un sabotage d’envergure.
Leur cible : les logiques délétères de l’urbanisme à la sauvage. Leur carburant : une expérience de l’injustice et mille idées de slogans ou d’actions loufoques et libertaires pour envahir la ville. À la clef : trouver une autre façon d’habiter la ville, oser dire « nous » et plus seulement « on ». Sur scène, cette chorale de récits prend vie dans une installation sonore détonante, entre bidons de peinture sonorisés et percussions de papier. L’autrice Olivia Rosenthal y projette ses récits sensibles et engagés, auxquels répond Eryck Abecassis de sa guitare triturée et ses boucles électroniques. À deux ils font meute et rappellent que la révolte se fait dans les marges, en rendez-vous secrets.
Leur cible : les logiques délétères de l’urbanisme à la sauvage. Leur carburant : une expérience de l’injustice et mille idées de slogans ou d’actions loufoques et libertaires pour envahir la ville. À la clef : trouver une autre façon d’habiter la ville, oser dire « nous » et plus seulement « on ». Sur scène, cette chorale de récits prend vie dans une installation sonore détonante, entre bidons de peinture sonorisés et percussions de papier. L’autrice Olivia Rosenthal y projette ses récits sensibles et engagés, auxquels répond Eryck Abecassis de sa guitare triturée et ses boucles électroniques. À deux ils font meute et rappellent que la révolte se fait dans les marges, en rendez-vous secrets.