Célèbre chorégraphe espagnole, Blanca Li invente depuis plus de trente ans une danse accessible, belle et fédératrice. Ici, elle s’empare de la musique composée par Henry Purcell pour l’opéra Didon et Énée (1689) et en propose une magnifique version dansée. On y traverse les tourments de Didon, reine de Carthage : éprise du Troyen Énée, elle vit avec lui un amour exalté jusqu’à ce qu’il soit interrompu par le plan machiavélique de sorcières décidées à la faire tomber.
Dans un rectangle de lumière, dix danseurs et danseuses semblent jouer d’instruments invisibles tandis que résonnent les premières notes de la musique de Purcell. Comme si la musique avait pris possession de leurs corps, ils et elles ondulent dans la pénombre, avant d’incarner les figures de l’opéra. Dans une succession de tableaux colorés, les portés, les glissades et les spirales s’enchaînent : épuré et sublime !
Dans un rectangle de lumière, dix danseurs et danseuses semblent jouer d’instruments invisibles tandis que résonnent les premières notes de la musique de Purcell. Comme si la musique avait pris possession de leurs corps, ils et elles ondulent dans la pénombre, avant d’incarner les figures de l’opéra. Dans une succession de tableaux colorés, les portés, les glissades et les spirales s’enchaînent : épuré et sublime !
« On se réjouit de retrouver Blanca Li à son meilleur. » Le Figaro