Depuis ses débuts, Babx appartient à ce cercle rare d’artistes qui refusent les compromis : pas de disques de routine, pas de concessions à la mode, mais une fidélité obstinée à une idée exigeante de la chanson d’auteur.
Avec Amour Colosse, il signe un disque-refuge, lumineux et essentiel, qui oppose à la brutalité de l’époque la douceur de l’amour et de la mémoire. L’album s’ouvre sur des chants d’oiseaux captés à la maison, prolongés en studio avec la complicité de J-P Nataf. Neuf chansons sensibles aux mouvements du vivant : l’enfance, les forêts, les amours, les deuils.
Dans Les Héros, il interroge les figures viriles sur lesquelles s’érigent encore trop souvent nos récits.
Dans Apaches, il marie transe tribale et noce libanaise pour évoquer l’assaut du Capitole. Avec pour compagnons un saxophone, un violoncelle et quelques percussions délicates, Babx sculpte l’espace sonore avec une précision d’orfèvre, sans céder à la tentation du spectaculaire. Chaque chanson devient ainsi une petite cabane à habiter, un abri contre l’uniformité ambiante. Dans ce disque libre et irradiant, il tend la main à son auditrice la plus attentive – sa fille de six ans – et, à travers elle, à tous ceux qui cherchent dans la musique une manière de croire à la lumière.
Avec Amour Colosse, il signe un disque-refuge, lumineux et essentiel, qui oppose à la brutalité de l’époque la douceur de l’amour et de la mémoire. L’album s’ouvre sur des chants d’oiseaux captés à la maison, prolongés en studio avec la complicité de J-P Nataf. Neuf chansons sensibles aux mouvements du vivant : l’enfance, les forêts, les amours, les deuils.
Dans Les Héros, il interroge les figures viriles sur lesquelles s’érigent encore trop souvent nos récits.
Dans Apaches, il marie transe tribale et noce libanaise pour évoquer l’assaut du Capitole. Avec pour compagnons un saxophone, un violoncelle et quelques percussions délicates, Babx sculpte l’espace sonore avec une précision d’orfèvre, sans céder à la tentation du spectaculaire. Chaque chanson devient ainsi une petite cabane à habiter, un abri contre l’uniformité ambiante. Dans ce disque libre et irradiant, il tend la main à son auditrice la plus attentive – sa fille de six ans – et, à travers elle, à tous ceux qui cherchent dans la musique une manière de croire à la lumière.
« Plus que jamais imprévisible et virtuose, le musicien français signe un nouvel album antidote à la noirceur du contemporain. » Patrice Demailly, Libération