Tout le monde ou presque connaît l’histoire des frères Grimm. Elle met en scène un frère et une sœur, abandonnés par leurs parents dans la forêt, et bientôt confrontés à une sorcière anthropophage.
Igor Mendjisky s’appuie sur cette trame afin de nous plonger dans l’imaginaire de l’enfance, de la nature, du rêve et de la nuit. Le conte réinventé illustre « le besoin de grandir sans perdre de vue qu’il est important de continuer à se raconter des histoires ». Pour ne pas s’enfermer dans une relecture trop classique, Igor Mendjisky emprunte aux contes africains ou japonais. Mais il fait surtout appel à sa fille qui lui décrit les ressorts de son histoire idéale : une enquête avec un policier, un papy, un écureuil, « un loup qui ne fait pas trop peur ».
Sur le plateau, des maquettes constituent un « petit monde » fait de bruitages et d’animations. C’est le point de départ d’une aventure théâtrale qui conduira les deux personnages à découvrir les sentiments les plus intenses : l’émancipation, la solitude, la peur…
Librement inspiré du conte des frères Grimm
Igor Mendjisky s’appuie sur cette trame afin de nous plonger dans l’imaginaire de l’enfance, de la nature, du rêve et de la nuit. Le conte réinventé illustre « le besoin de grandir sans perdre de vue qu’il est important de continuer à se raconter des histoires ». Pour ne pas s’enfermer dans une relecture trop classique, Igor Mendjisky emprunte aux contes africains ou japonais. Mais il fait surtout appel à sa fille qui lui décrit les ressorts de son histoire idéale : une enquête avec un policier, un papy, un écureuil, « un loup qui ne fait pas trop peur ».
Sur le plateau, des maquettes constituent un « petit monde » fait de bruitages et d’animations. C’est le point de départ d’une aventure théâtrale qui conduira les deux personnages à découvrir les sentiments les plus intenses : l’émancipation, la solitude, la peur…
Librement inspiré du conte des frères Grimm