Dans cette nouvelle création en solo, Philippe Foch s’attaque à la palette sonore inouïe des métaux et crée un instrumentarium saisissant de feuilles, de lames et de plaques suspendues, dont il explore les multiples facettes de son geste de percussionniste.
Accompagnée par Maxime Lance au traitement électronique et à la spatialisation, le parcours sonore et musical du performeur esquisse un monde vibratoire délicat, progressivement traversé de forces jusqu’à la torsion, la saturation et l’aveuglement. Qui de la matière, des sons, de l’air, de la lumière ou du musicien interagit dans ce théâtre des rêves et des mémoires ?